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Suite de ma Bio !

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BettyLaTruie

BettyLaTruie

Just2Craftien
Avé, peuple !

Suite à pas mal de demande pour que je continue cette Bio qui ne mêne nulle-part :roll: et bien, je décide de faire une suite qui se fera en plusieurs fois !! :D La 1ère partie est en bleu la deuxième en vert et on verra pour la suite :p

Un jour, une mère cochon ou, je dirais même plus une truie, mis au monde une truie qu'elle prénomma Betty.
Betty, était une petite truie à la recherche d'aventure à tel point qu'à l'âge de 3ans et demi, elle décrocha la médaille d'aventurière de l'année.
Elle décida donc de continuer toutes ses aventures. Et c'est un jour d'automne que cette dernière trouva au bord d'un arbre, un livre. Un livre qui ne ressemblait à aucun autre.. Un livre dont les pages étaient composées d'une or si fine que l'ont pouvait la couper au couteau.. Mais, vous vous y attendiez, aventurière comme elle était, elle avança vers ce livre avec curiosité.. Elle l'ouvrit et ses yeux commencèrent à briller d'envie et d'émerveillement. Elle lut ce livre pendant toute une journée, toute une nuit puis toute la journée d'après et ses yeux n’arrêtèrent de briller, de briller !
A la fin de ce livre, on va pas vous le cacher, elle était H.S et elle s'endormit. Sa nuit ne dura que 3h, car elle ne pouvait contenir toute l'envie d'en savoir plus sur cet empire présent dans les fin-fonds de ce monde dont le livre parlait. Et elle partit, en ne laissant qu'un petit mot pour sa mère qui, quand elle le vit, mourra de chagrin et d’inquiétude. Mais Betty, elle continua son chemin sans relâche car elle n'avait qu'une envie, voir cet empire. Elle marcha, marcha, sans arrêt et croisa un homme, un paysan sûrement. Elle le salua et il fit de même. Mais Betty voulut profiter de cette rencontre pour se renseigner sur ce qu'elle cherchait. Et elle lui demanda :
"Bonjour Monsieur, dit-elle avec beaucoup d'assurance, connaissez-vous cet empire cité dans ce livre ?
- Binh Mam'selle, z'avez d'la chance d'tomber sur moins, j'habite à s't'empire dont vous m'parlez, bah tien, montez et j'vous y amène."
Betty monta, confiante.
"Dites moi, Monsieur, je peux connaître votre nom ?
-Binh ouais Mam'selle moi c'est Frankyea, pour vous servir ! Et vous ?
-Je m'appelle Betty, Betty LaTruie.
-Binh ravit de vous rencontrez Betty, vous allez être bien à s't'empire !"
Ils firent de la route pendant une dizaine de jours, et à l'aube du onzième, Betty aperçut enfin cette cité.
"Je la vois, je la vois !!! Dit elle en pleurant de joie
- Ouais Betty c'est bien ici.
Ils arrivèrent en face des portes de la cité, deux immenses portes ne pouvant s’ouvrir qu'à l'aide d'une centaine de bras. Et ils virent un homme que le paysan salua et dit une sorte de phrase dans une autre langue assez étrange, ça ressemblait à du Russe. Mais peu importe, Betty était enfin arrivé, car on entendit un bruit assourdissant, c'était l'ouverture des portes.
"OMG !! S'exclama Betty
- Z'avez vu ça ? C'est du lourd hein ?
- Du lourd, c'est peu dire !!.."
La réaction de Betty n'avait rien d'étonnant, devant eux s'étendait une cité dont le bout était invisible.
L'accueil fut chaleureux et tous les gens présents sur leur chemin leur sourirent. Arrivé sur la place de cette cité, Betty ne su retenir ses larmes à cause de sa joie qui débordait.




Elle s'arrêta sur un banc et admira pendant plus d'une heure, les habitants passants leurs chemins. Tout le monde aurait pût trouver ça lassant, mais pour elle, c'était un véritable bonheur. Voir des habitants si heureux de vivre et d'exister. Mais très rapidement, soif d'encore plus de curiosité elle poursuivit son chemin. Elle tomba sur plein de petits commerces divers, des marchands de fruits, légumes, des jouets, des meubles.. Mais tout au bout de la ville, elle vit une véritable forteresse. Un château dont les remparts étaient si grands que toute échelle était insuffisante pour escalader cette forteresse. Elle si rendit, et arrivé sous ces remparts, elle trouva un portier car cette fois, la porte était plus accessible même si le portier, seul, eu beaucoup de mal à ouvrir la porte.
"Merci bien monsieur ! S'exclama Betty
- Au.. Plaisir... Mademoiselle !" Pouffa le portier tout essoufflé

Vous n'allez pas le croire, derrière cette porte, il y avait des centaines, que dis-je ! Des milliers de soldats. Tous rangés comme en ligne à une perfection.. Extraordinaire !
A croire qu'une guerre se préparait. Néanmoins Betty n’hésita pas à avancer. Elle trouva plus loin sur son chemin un soldat d'une beauté incroyable ; Il portait une armure en or et avait une épée d'au moins 1m50. Pourtant, il poussait un regard repoussant. Ce regard exprimait une haine sans faille.. C'était certain. Betty alla le voir et dit :
"Bonjour soldat. Pourquoi êtes-vous si haineux ?
- Un roi ennemi nous a déclaré la guerre.
- Comme s’appelle-t-il ?
- Godefroy de Montmirail. C'est un véritable diable... Il a saccagé plus d'une dizaine de nos villages sur nos terres, il n'aime que l'or et les femmes !
- Alors je me joindrais à vos forces ! S'exclama Betty
- Vous êtes folle, vous n'êtes qu'une petite truie sans possibilité de défense !
- C'est l'impression que j'offre au monde, c'est ma couverture. Sachez que si vous m'acceptez dans vos rangs, vous risquez d'être surpris !
- Et bien je vous fais confiance, et puis, ça nous fera un soldat de plus.. Marmonna le soldat.
- Merci monsieur ! Se réjouit Betty
- Général, dorénavant appelle moi seulement comme ça.
- Bien, Général !"

Et sans tarder, Betty alla trouver un équipement à sa taille. Ce fut très compliqué car elle dut faire tout le tour de la forteresse pour trouver de quoi se protéger. Mais elle revint auprès du général qui fut bien surpris de la voir arriver en cette tenue.
"Mais c'est une .. Casserole sur votre tête ! S'écria le général
- Il n'y avait rien d'autre à ma taille.. Répondit Betty assez gênée
- Ce n'est pas un matériel très résistant mais ça pourra faire l'affaire. Enfin bref, vous êtes partie demain dès l'aube pour la préparation.
- Bien général, je serais prête !"

Betty était d'un côté excitée et de l'autre, elle avait peur de ce qui pouvait l'attendre au front.
Quand soudain Betty s'écria :
"Frankyea ! Que fais-tu ici !
- Betty ?! Et bien quelle surprise, il semblerait que nous soyons tout deux ici pour la même cause..
- Ne me dis pas que tu pars également au front ?!



Suite.. Plus tard !!


Betty
 
Betty était d'un côté excitée et de l'autre, elle avait peur de ce qui pouvait l'attendre au front.
Quand soudain Betty s'écria :
"Frankyea ! Que fais-tu ici !
- Betty ?! Et bien quelle surprise, il semblerait que nous soyons tout deux ici pour la même cause..
- Ne me dis pas que tu pars également au front ?!
- Et bien si Betty, j'ai décidé de m'engager. L'un des villages attaqués par le tyran était le mien, j'ai décidé de me venger.
- Je suis désolé d'apprendre ça, je serais avec toi pour tué ce fou, pas de soucis ! "

Et c'est donc à la veille d'une grande guerre que deux vieilles connaissances se retrouvèrent. Mais Betty, à peine arrivée dans cette ville devait déjà en partir, elle décida donc sans hésitations que cette nuit serait.. Mouvementé car elle visiterait cette ville !
De retour sur la grande place, la petite truie réfléchissait encore beaucoup de ce qui pouvait bien l'attendre sur le front, mais ce n'était pas une angoisse pour elle, confiance et courageuse qu'elle était.
Betty leva les yeux et vit le haut d'une géante tour qui paraissait particulièrement proche. Sans hésitation, elle décida d'y courir. Les rues de la ville étaient étonnamment propres, à ce demandé qui pouvait faire un nettoyage aussi raffiné dans une si grande ville.
Tout en admirant la propreté du sol où elle courant, la nuit commençait à tomber et les rues devenaient de plus en plus sombre. Enfin arrivée à la tour, la nuit était si intense et tellement ténébreuse, que le haut de la tour était maintenant invisible. Sur l'entrée de la tour, il était inscrit "L’œil de Phoenix" mais aussi "Bâtiment privé, entrée strictement réservée au personnel du lieu". Ce n'était en aucun cas une raison suffisante pour arrêter Betty. Et c'est encore décidé comme jamais qu'elle entra dans cet immense bâtiment.
A peine entrée, elle devint éblouie, et pour cause, la pièce était si lumineuse que même un aveugle y verrait une lumière. Betty fut encore plus étonnée d'y voir, dans une salle aussi grande, un simple escalier, montant si haut qui pourrait croire un moyen d'aller au Paradis.
La truie s'engagea donc dans cet escalier vertigineux. Elle commença, sans étonnement, à grimper cette escalier au pas de course, mais elle en fut vite prit d'un puissant point de côté qui l'a fit nettement ralentir. Arrivé à plus de plusieurs centaines de marche, elle vit la première porte, une porte particulièrement petite et étroite, cette dernière était ouverte sur une pièce un peu plus sombre qu'avant. Elle s'y faufila avec le silence le plus total, mais elle entendit soudain une voix de vieillard dire :
"Qui ose me déranger pendant ma lecture ?
- Euuh, je m'appelle Betty, je visitais la tour.. Répondit particulièrement gênée notre exploratrice.
- Visiter ?! Et tu conscience que ces lieux sont strictement interdits au publique ?! Sortit le vieillard, maintenant rouge de colère.
- Et bien oui, je pars à la guerre demain, tôt le matin, pour défendre ces terres !" Je profite de cette soirée pour visiter la ville. Rétorqua Betty assez fière.
Soudain le vieil homme pouffa d'un rire sinistre, si sinistre que Betty, courageuse comme elle l'était, se cacha le plus vite possible derrière d'immenses piles de livres. Le vieil homme continua son rire bien une dizaine de minutes après. Quand il n'eu plus un seul souffle pour remplir ses poumons, il finit par stopper son rire diabolique et reprit :
" Excuse moi petite, mais tu m'as bien fait rire ! Tu dis aller à la guerre ? Celle livrée contre le Comte ?
- Oui, c'est bien ça ! Rétorqua Betty en essayant désespérément de sortir de sa cachette sans faire tomber le moindre livre.
- Mais, c'est d'une absurdité ! Le comte demeure actuellement invaincu depuis qu'il est sur son trône.
- Peut-être mais c'est un risque à prendre, on ne peut pas le laisser détruire les villages alentour sans rien faire !
- Certes, mais sache petite, que cette guerre risque d'être particulièrement sanglante, il faudra t'attendre au pire en faisant face à ce monstre."
Betty remercia le vieil homme de ses conseils, qui lui s'excusa de l'accueil, et la petite truie assez essoufflée de cette rencontre et plus particulièrement des marches, tomba raide de fatigue, une bonne nuit lui était vivement conseillé pour la journée qui allait en suivre.
Le matin frappa à l'entrée de la grande tour, car Betty avait dégringolé toutes les marches sans même se réveiller. Elle se réveilla et se leva sans grande difficulté et sortit du grand bâtiment. A l'extérieur, les rues étaient vides, le peuple avait dût être avertit pour l'occasion. C'est donc sans réel problème que la truie retrouva l'armée qui avait encore prit de l’ampleur durant la nuit. Frankyea était là aussi, il arrivait d'une ruelle voisine à celle de Betty. C'était la veille d'un grand jour, qui changera la vie de Betty.

Suite..
 
Si à chaque fois, il y a 6 mois entre chaque partie je ne connaîtrais jamais la fin moi :(
Mais sinon gg toujours aussi sympa à lire :p
 
Frankyea était là aussi, il arrivait d'une ruelle voisine à celle de Betty. C'était la veille d'un grand jour, qui changera la vie de Betty.


Elle se rangea entre deux soldats faisant certainement trois à quatre fois sa taille. Quand à Frankyea, lui était juste derrière mais la différence de taille était pour lui nettement moins choquante.
Après une dizaine de minutes, une petite trace d'or apparut devant les rangs particulièrement bien organisés que formaient les soldats. Cette trace n'était autre que le général, suivit de quelques suppléants. Il parcourut les rangs tout en regardant minutieusement chaque rang avant de se replacer devant les troupes. Soudain, il s'exclama :
"Aujourd'hui est un grand jour, un jour où votre destin, celui de vos femmes, de vos enfants et de notre patrie est entre vos mains ! Un jour où vous déciderez si le mal triomphera."
Ce fut des paroles particulièrement brèves, mais l'on pouvait constater sur le visage de chaque soldat, que les paroles du général avaient eu un effet particulièrement motivant.
Soudain, les majestueuses portes de la ville s'ouvrirent. Et la première rangée de soldats fit le premier pas. Le visage de Betty commença à se crisper, ce n'était pas facile de se dire que cette journée serait peut-être la dernière, elle qui voulait tant découvrir le monde.. Ce fut au tour de son rang de faire leurs premiers pas, les pas qui commencèrent une très, très longue marche. Effectivement, ce fut seulement le soleil couché que l’immense armée s'arrêta. Ils s'arrêtèrent au milieu d'une vallée, où l'on pouvait voir une cascade particulièrement monumentale, des arbres également gigantesques dotés d'un feuillage qui pourrait être référencé à un nuage vert. C'est en dessous de l'un d'eux que Betty et Frankyea décidèrent de se reposer. Malgré leur fatigue collective, ils échangèrent :
" C'est vraiment magnifique ici, on se croirait au Paradis avant l'Enfer.. dit Frankyea, prenant l'allure d'un penseur
- L'Enfer ? Pourquoi dis-tu ça, on arrivera à s'en sortir, on y perdra rien, tout est à gagner ! S'exclama perplexe Betty
- J'ai peur qu'on ne puisse pas imaginer ce qui nous attend derrière cette vallée Betty, on est très proche de la guerre ici. Dors, ce sera peut-être bien ta dernière nuit tranquille. Tout en disant cela, Frankyea avait déjà sortit de son sac un tapis, qui lui faisait guise de lit et en deux temps trois mouvements, il s'allongea dessus.
Quant à Betty, elle fit de même, mais sans le tapis. Cette gourde n'avait effectivement prit que son médiocre équipement.
Quelques dizaines de minutes passèrent, et Betty, troublée par l'angoisse et l'appréhension, ne trouva pas le sommeil. Elle décida donc de gravir cette petite montagne, curieuse comme elle est, se contenir à rester plantée sous un arbre n'allait certainement pas lui convenir. La montagne n'était pas bien compliquée à escalader, et c'est sans grandes difficultés que Betty arriva en haut. Elle prit quand même quelques secondes pour reprendre son souffle, et leva enfin la tête. Elle ouvrit de grands yeux, terrorisée par ce qu'elle était entrain de voir, une larme coula même de l'un de ces yeux, elle n'en revenait pas.

Suite .. !
 
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